C'est avec les autres que l'on apprend mais c'est seul que l'on comprend.
Samedi j'ai bu. Dans quel but? ( Réponse) Aucun. Trouver des prétextes d'adultes, genre: " Très cher, mettons-nous un petit coup dans le nez avant la rentrée.." ou encore "Oui, tu comprends, j'enterre ma vie de couple". Putain, j'ai bu, j'ai cru que j'allais crever. Tout est passé: vodka, rosé, alcool croate, clope, teu, et je ne sais quelle autre merde. Vouloir atteindre le pays des merveilles (Alice) mais sans le lapin blanc ça ne marche pas ma puce. Résultat des courses, soupe de langues, vêtements pourris, mal de crâne, gerbe, gerbe et re gerbe. Il a raison, apprendre à être seule..
" Elles ne sont vraiment pas belles les personnes qui ont raison." C.Cros 1842-1888
Il est grand temps de rallumer les étoiles.
Il aura marqué un bon bout de l'adolescence.
Moi, c'est Mathilde. Le soir avant de m'endormir j'écoute sa voix à la radio. C'est mon meilleur ami. Enfin, je crois. C'est pour moi la personne la plus intelligente que je connaisse. Il a réussi sa vie, même s'il ne le sait pas. Je voudrais pouvoir tout raconter. Mais les mots sont tellement imprévisibles. Vous pensez les avoir et ils vous filent entre les doigts. Les mots sont de l'eau. Tout a commencé ou s'est terminé à la fin d'un cours de langue. L'anglais. Je déteste l'anglais. C'était jeudi (j'crois), il pleuvait. A la sortie, il était beau. Comme tous c'est hommes cruels qui ne le savent pas. Il était beau. Il fumait. Il fume beaucoup, il aime ça. Et, ça rajoute un plus. Charismatique et en surface mystérieux. Le truc qui les fait toutes craquer. Ce jeudi, donc, 11 heures du matin, gris-humide, je lui ai dit sans aucune raisons valables que c'était terminé. Alors ça pleure... Il y aura un après, oui. Mais il sera moche. On ne peut pas tout résumer mais on s'efforce d'y arriver, en connaissant le résultat. En bref, il n'y a rien de pire que de quitter quelqu'un qu'on aime encore. Heureusement, il y a Louise. Ma préférée mais en secret. Personne ne l'aime où plutôt tout le monde s'en fout. Elle est différente mais par jalousie, les autres disent qu'elle est insignifiante. De la bande mais en public n'en fait pas partie. Louise comme prénom c'est beau et fort, pas comme Mathilde, moi je trouve ça tellement commun. Le prénom qui te met dans le moule. Le prénom qu'on oublie. Rien à voir avec la fille sur laquelle tu te retournes dans la rue et qui toute la journée occupe tes pensées. Passons. Le père de Louise fume de la beu, sa mère n'a pas la vie dont elle rêvé. Le soir dans son bain, on boit du Merlot, cuvée 2001, elle dit que c'est la meilleure et, on fume un joint. La lumière est feutrée, bougie, folk en son oblige, Philippe M. et dégoulis de " celle-ci est trop grosse, lui est bandant, elle, c'est trop un salope..." Et j'en passe.
Chronique d'une vie banale.
Les hommes sont le roturiers du mensonge, les femmes en sont l'aristocratie.
Putain les temps changent...
Fleur préférée, l'arôme, comme sa maman. Ben a dit:
- Réussir son bac
- Réussir sa vie
- Réussir ses amours
On my shoulders, enfin grâce à Toi.
"Il serait d'une mauvaise foi totale, un manipulateur d'opinion de première, trop affectueux" pour l'avouer et pour les caresses à celle qui faut.
[ Melle S - Léon ]
J'attend que Monsieur daigne me combler d'un regard. Ca me changerais des beignes et des oeils aux beurre noir. Moi qui t'ai tout donné, sacrifié ma jeunesse, me reste le passé pour voilée ma détresse.
Pourtant Léon, je t'aime encore, quoi que tu fasses, fais moi un signe et je m'efface. Mais c'est comme-ci je n'existe plus, pourtant y a 20 ans je t'ai plu. Tu dis qu'aujourd'hui je t'agaces, qu'au près de toi, j'ai plus ma place.
Je t'aime encore quoi que tu fasses. Je t'aime Léon, Léon je t'aime. Tes poèmes sont dans mon sac, j'ai tout gardé, ils ne me quittent jamais.
Mais où tu vas Léon?
Vice est underground, lu dans un article découpé de I. Les moments les plus simple qui sur l'instant ne paraissent pas exceptionnels, par suite marque le plus.
Les sites internet s'acharnent sur le bonhomme.
Paul aime Louise.
Paris Combo - Living room
Sarko pète
Cécilia secoue les draps.
***
Qui vole un oeuf vole un boeuf
Tes erreurs, mes jugements
Mes jurons, tes errements
Et après ?
Après, on rêve d’avant.
Rien de secret, tout se perd
De quoi avons nous l’air
A l’heure de l’inventaire
De quoi avons nous l’air
Tenter plus pour trois fois rien
Trop de mal pour un bien au bout du compte
Amour, tu m’aimes combien ?
Rien de secret, tout se perd
De quoi avons nous l’air
A l’heure de l’inventaire
De quoi avons nous l’air
Huit ans à t’aimer, c’était un jeudi
La Terminale B, pas une lettre depuis
Neuf je sais plus bien je vais mentir
Je ne trouve plus rien de neuf à te dire
Que te reste-t-il de moi ?
Mieux vaut en rester là.
Mais dis moi,
Est ce que je compte pour toi ?
Pierre qui roule n'amasse pas mousse
Ni déesse, ni diablesse, ni faible, ni potiche, être folle, un bébé, un
je t'aime, ne pas aimer ouvrir les poubelle, suzanne envoie une carte,
perdre un homme, un enfant, être heureuse, amoureux, tout les côtés
positifs du couple, il aime le lait comme elle et fume et baise
autant, vous devez tous nous écoutez ce soir, il est finit le temps où nous
étions libre, la liberté des femmes, vivre à l'époque de nos parents,
la laine c'est pour toi, hold, tu penses in, dans le off, piscine du
matin, vaguement les autres, délicieux mois de mars, hop là, fils père,
ça roule, une poule aux oeufs d'or, je t'aime encore, réveil, il est
trop fatigué, la grossesse est éphémère, je vais avoir un petit toi,
désavantager une fille dès son arrivée, prendre le taureau par les
cornes, jean reno vote sarko, un gros bouh, comme johnny, la suisse,
elle rote, elle pète, trop d'air dans le corps, regarder le combat,
j'aime bien quand il saigne, bouh, un coup sur le bidou, pas
d'attirance, t'as vu il danse autour, elle a peur et son regard est
triste, les gens s'enfoutent des gens heureux, ça ne le interressent
pas, ça les rassure, je suis le plus fort, j'aimerai que quelqu'un
d'autre s'occupe de ce gars, t'écris ce qui dit enfaite, un peu comme
moi, aidez-moi, oh c'est mignon.
La jarre peut-elle être plus belle que l'eau ?
P.E ( à méditer)
Une histoire.
Il était une fois dans le pays de Brabbit-White, un peuple de
Lapin Blanc, qui s'appelaient tous "Lapin Blanc" parce qu'ils étaient
tous né de race "lapin" et se trouvaient tous être de couleur
"blanche". Dans ce peuple régnait une atmosphère douce et chaleureuse
car bien entendu tout le monde s'aimait et tout le monde s'entendait
bien ( = factice). Ils mangeaient tous des carottes-sont-cuites et
rebondissaient tous dans des champs et pondaient des petites crottes
perdues et dormaient dans des terriers-pour-lapin-blanc.
Peut-être que certains, dans le fond, se détestaient. Peut-être que
certains, dans le fond, avaient un penchant homosexuel. Peut-être que
certains, dans le fond, avaient des envies de pouvoir et de sang.
Toujours est-il que l'histoire ne nous le dira jamais. Car, les Lapins
Blanc, fermaient constamment leur gueule, gardaient le sourire au
pompon et s'entre kiffaient.
Or, ( arrive l'élément perturbateur chamboulant la situation initiale
de l'histoire. Cela entrainera une transformation du récit nous télé
portant aux évènements.) -donc-
Or un matin, une Petit Lapin Blanc après avoir fini sa
carotte-sont-cuites fut attiré par le mouvement anormal d'un buisson (à
sa gauche). Le Petit Lapin Blanc ( curieux, fougueux, innocent,
inconscient de la vie et du monde extérieur = en bas âge, <2<7
ans) bondit, bondit, bondit jusqu'au fameux buisson. Là, énorme
surprise!!! ( Attention, création du suspens chez le lecteur) Un gros
Canard à Col-vert et aux pattes jaunes palmés se tenait droit et fier
devant Lui. Devant une telle nouveauté, le Petit Lapin Blanc resta
bouche bée et incapable de bouger. Comment une chose aussi bizarre
soit-elle pouvait exister? Pas de poil blanc, pas d'oreille blanche,
pas de nez rose, ni moustache et encore moins de pompon...
- "Viens jouer avec moi Chose à poil
blanche. Tiens voilà une carotte-sont-cuites je sais que vous Chose à
poil blanche aimé ça."
( Un peu surpris par le fait que le canard à Col-vert et pattes jaunes palmés parle sa langue de Brabbit-White et qu'il soit gentil, le Petit Lapin Blanc, influençable et débile se jeta sur la carotte-sont-cuite).
[Puis, ils jouèrent durant une nuit, ce fut fougueux, ils sautèrent tels des bêtes enragés, ils se roulèrent tels deux corps en feu et en ressortirent tous chamboulés...]*
L'un avait vomi la carotte-sont-cuites (oui trop de carotte-sont-cuites
entraine le vomissement chez les Lapins Blancs) et pendant ce temps,
l'autre s'était endormi et avait rêvé d'amour et d'eau fraiche, de
lapin blanc et de caresses. Se rendant compte de son retard (oui, à
Brabbit-White, les règles sont strictes, pas de sorties, pas de
conneries, pas de filles en string, pas de sexe aussi). Le Petit Lapin
Blanc bondit, bondit, bondit et arriva chez Lui. ( Quant au canard à
Col-vert et à pattes jaunes palmés, il s'envola vers une autre contrée).
Arrivé chez lui, le Petit Blanc Lapin ressentait un certains malaise a
avoir enfreint les règles de Brabbit-White. Malgré les grands sourires
de ses proches, les carottes-sont-cuites, les blagues la-pines et j'en
passe, derrière son pompon blanc, Petit Lapin Blanc entendait les
murmures...
-" Ils nous a trompé, il l'a fait et il nie, ils
nous a trompé, il l'a fait et il nie, ils nous a trompé, il l'a fait et
il nie, le Canard a parlé, le Canard nous l'a dit."
Pauvre Petit Lapin Blanc, il nia, il nia, il nia mais rien à faire,
croire la faute est toujours plus attrayant.. Il partit de
Brabbit-White le coeur lourd au début mais après réflexion, le coeur
léger. Il en tira une leçon: " Plus tu t'enfonces dans la masse, plus
tu écoutes ce qui ce murmure, plus tu te perds dans l'innocence et la
bêtise." Il créa donc "L'association des Lapins Bleus", ceux s'écoutant
avant d'écouter les autres, ceux qui croque la carotte-sont-cuites non
pas pour la cracher mais pour en découvrir toute sa saveur cachée.
Tristes les polichinelles sont, heureux les opprimés.
Pardonnez ces braves gens, braves Lapins Blancs, ils ne savent pas ce qu'ils sont.
-Ah Bien!! As-tu l'heure?
- ...
- Ok, salut!